J'ai toujours aimé la technologie. J'ai passé mon enfance avec une Game Boy dans les mains, et j'ai très vite eu envie de créer mes propres jeux, notamment des jeux Pokémon. Cependant, j'ai longtemps pensé qu'il s'agissait d'un rêve inaccessible. Jusqu'à ce que j'obtienne mon premier PC. J'entrai alors en première au lycée, et je me suis procuré le logiciel RPG Maker. J'ai rapidement pris en main les aspects les plus basiques du logiciel, et ai créé un petit RPG dont l'histoire ne prenait qu'une vingtaine de minutes à compléter. Au cours de sa création, j'ai appris à créer des assets, dont les tilesets, mais aussi (oui j'en suis très fier) des tilesets animés ! Je me suis vraiment plu à travailler sur ce projet, et c'est donc avec de grands regrets que je vous annonce que je n'en ai plus la moindre trace…
Puis, en continuant mon année de première, j'ai appris à me servir du langage de programmation Python. Pour la première fois, je sentais le potentiel de création infini qui s'ouvrait à moi. Je me suis rapidement renseigné sur la bibliothèque de jeux Pygame, pour laquelle j'ai suivi un tutoriel de jeu de plateforme. Une fois familiarisé avec la syntaxe du langage et la structure de la bibliothèque, je me suis lancé dans la création d'un jeu de combat. Malheureusement, on peut dire que je me suis lamentablement raté dans l'ordre du processus : j'ai commencé par créer un écran titre, suivi d'un écran de sélection du mode de jeu, puis un écran de sélection du choix des personnages… Bref, j'ai tout fait à l'envers ! Je me suis donc vite découragé, bien que j'eu le temps de créer un univers pour ce jeu comme vous pouvez le voir ci-dessous :
On arrivait alors en fin de première, et l'année d'après, je commençais la callisthénie. Raison pour laquelle je n'ai pas produit grand-chose cette année là. Je vous en raconte l'histoire dans l'autre onglet de cette page. Reprenons pour l'instant le fil de mon parcours de développeur.
Petite ellipse jusqu'à mon entrée en BTS SIO. J'arrive dans une toute nouvelle ville, et je passe les 2 premiers mois dans un internat (en rentrant le week-end bien sûr). Je reprends au même moment goût au Python - sans doute dégoûté du PHP - et je me remets alors à travailler brièvement sur mon jeu de combat. Mais ayant encore à l'esprit ma mauvaise aventure avec les menus, je finis par me dire que ce serait bien d'utiliser un logiciel permettant la création de jeu, tout en simplifiant les aspects les moins amusants. Je tombe alors sur des vidéos parlant des moteurs de jeu, et m'étant fait au même moment endoctriner par mon professeur de développement Web, je me tourne vers l'open-source : Godot (ce n'est pas la seule raison). Je me lance alors dans la création d'un platformer, dans lequel on incarne un jeune homme ayant perdu ses pouvoirs, lancé à la recherche de ceux-ci afin de retrouver sa sœur disparue au même moment. La spécificité du jeu ? Le personnage peut se séparer de son âme pour l'aider à résoudre des problèmes et avancer dans un monde parsemé d'embûches. J'ai aussi abandonné ce projet au bout de quelques mois car je n'arrivais pas à faire se déplacer le joueur sans que l'âme bouge en même temps… J'ai depuis acquis de l'expérience grâce au projet que je vais vous présenter ensuite, et je sais désormais où résidait le problème. J'y reviendrai donc sans doute un jour.
Depuis, j'ai fini mon BTS, je suis entré en deuxième année de BUT Informatique, et j'ai repris la création. Je me suis lancé dans le développement d'un jeu de type rogue-like, toujours avec Godot. Cette fois, je compte bien mener le projet à terme ! C'est pourquoi je vous partage mon aventure sur Youtube et Instagram, et maintenant sur ce blog !
J'étais un grand flâneur au lycée. Je n'avais jamais envie de rien d'autre que de jouer aux jeux vidéos. Mais étant à l'internat depuis deux ans, je commençais à me lasser des jeux mobiles en entrant en terminale. J'ai donc cherché une activité qui pourrait me distraire au moins le mercredi. J'avais déjà vu sur les réseaux quelques personnes qui pratiquait une discipline étrange. Certains pour se tenir à l'envers, d'autres à l'horizontal… Et franchement ça m'a plu. Moi aussi je voulais faire des tractions et atterrir au-dessus de la barre.
J'ai donc été sur le site Calisthenics Parks et j'en ai cherché à proximité de mon lycée. J'ai trouvé ce que je cherchais, et le mercredi suivant je m'y rendais. Je suis alors tombé sur des gens de mon lycée à qui j'avais déjà parlé par le passé, et c'est eux qui m'ont convaincu de me mettre à la callisthénie. Et depuis, je n'ai eu de cesse de m'entraîner. J'ai commencé en septembre, et pourtant je me souviens ne jamais m'être entraîné moins de 3 fois par semaine les mois qui suivirent. Ce fut un peu mon premier winter arc. J'ai commencé avec un corps plus ou moins squelettique, mais j'avais déjà quelques tractions et pompes. Au bout de 3 mois seulement il me semble, j'ai passé mon premier muscle-up. J'en étais sacrément fier. Puis tout s'est enchaîné. Plus tard dans l'année, j'ai rencontré quelqu'un sur ce parc qui était capable de sauter au-dessus de la barre, faire demi-tour et la rattraper. J'avais découvert le freestyle !
Je n'ai pas tardé à faire mes premiers combos, et à les poster sur Tik Tok. Mon corps a très bien suivi le rythme, et j'ai développé une force et un physique plus que satisfaisants pour mon temps de pratique. Depuis, j'ai eu des hauts et des bas, des rushes et des pauses, mais jamais je n'ai pensé à arrêter ce sport qui m'a déjà tant donné : force physique, force mentale, discipline, confiance en moi… C'est en voyant tout ce que j'y ai gagné que je me suis dit qu'un maximum de personnes devraient en profiter.
Vers la fin de mon BTS, et donc début 2025, j'ai donc lancé ma chaîne Youtube, avec un objectif en tête: partager. Partager ma vie, mes projets, mon expérience, mon savoir mais aussi mes erreurs. Même si j'ai pu m'égarer en chemin, ce site Web est le point de départ d'une nouvelle ère pour ma chaîne Youtube comme pour moi. Désormais je ne vous proposerai que le contenu dont je suis satisfait de la qualité et de l'utilité. Abonnez vous pour ne manquer aucun des prochains conseils, programmes, et projets que je vous partagerai. Je vois les choses en grand, et vous faîtes partie intégrante de mon futur.
